La petite buzzy était top sex dans ses clips (j’étais jeune…mais ça n’excuse rien, je sais) et j’ai craqué, j’ai acheté une sorte de best of en double album avec un petit livret décevant car trop peu de photo cocho…heuu correct et une musique typé 80’s plus quelques titres récent sans aucun intérêt.
Bon, elle aurait travaillé avec Serge Gainsbourg mais en même temps j’aime pas boubourg, il était chiant alors à part pour la nostalgie d’un tube ou deux et aussi pour mon obsession à possédé l’objet (parce que la femme c’est mort je crois) ce coffret n’est pas convaincant et ressemble plus à un piège pour fan hardcore (fan hardcore de buzzy…putain la classe). Par contre si vous avez l’occaz de looker les clips …nan, en fait c’est aussi pourri, y’a que moi que ça fait marrer et j’adore.
Best of cosmique de l’une des formations la plus belge du monde, à l’image de la jaquette, l’hallucination collective n’est pas loin. Les morceaux ici présent regroupent (presque) le meilleur de la bande à Jean-Luc, complètement déjanté avec un fond musical en 8 bit, des textes à se pisser dessus et un accent belgo erectus…c’est stratosphérique. Personnellement, j’adore et le pire c’est que le monsieur à une bonne perception du rythme, des mélodies accrocheuses et une auto dérision dantesque.
Attention, Sttellla n’est pas les Charlots ( que j’aime beaucoup aussi ) pour autant, les associations de mots, les métaphores, le jeu phonétique sur les paroles chantés sont subtiles, jamais vulgaire et possède toujours un sens.
La prod n’est pas toujours efficace et il manque encore quelques titres bien barré de sa disco pour compléter ce petit chef d’œuvre. A écouter avec un chicon enfoncé dans chaque oreille et une bière entre les pieds. Allez allez, rouillez jeunesse!
Stendal Blast ou comment se reconvertir dans l'indus lorsque l'on est un cartoon de disney -Donald en special guest-. Rigolo, edulcoré, fun, complètement décalé et possédant une grosse dose d'auto-dérision, la musique de ce combo oeuvre pour un mélange des genres des plus bizzar't.
Le tout est chanté en allemand et la voix du frontman, qui semble être branché sur un baxter d'hélium, propose une variété sonore assez cosmique. Les samples doivent sortir tout droit des vieux cartons de génériques d'AB prod, les beat et autres drums electro sont un mélange d'acide et de new beat. Bref, tout baise avec tout sur cette rondelle et offre un aperçu de ce qu'aurait pu être l'album studio du méchant « pas beau » dans Roger Rabbit. Cerise sur la choucroute; la production est aussi pourri que les effets sonores de la master system.
Malgré tout, ce brulo n'est pas vraiment mauvais, les compos sont correctes, l'ensemble est homogène et très fun et surtout la musique du groupe est 100% assumé.
Ouais, je sais, c'est ringard, c'est yéyé, ça casse pas des briques même pas du placo et ce sera certainement la meilleur BO jamais utilisé pour accompagné le remake de star trique 70's avec Brigitte Lahaie mais je trouve ça sympa et j'assume.
Au final, lorsque vous écoutez bien la zique c'est sexperimental et puis c'est fendar bon à part ce putain de jingle pour babiboule...
Instrumentalement parlant c'est plutôt bon, les intros sont assez chaude et colle bien avec l'époque « tous à poil avec une fleur dans le cul ».
Des morceaux court qui racontent à chaque fois une petite histoire (souvent débile)... et oui, y'a un avant Benabar.
Alors d'accord je commente ici un best-of et j'avoue que c'est largement suffisant à moins d'être un nostalgique des grandes migrations de pavé en granit et de se la jouer puriste du bang à patte d'eph, dans ce cas je préconise plutôt l'achat d'une vieille platine Oceanic et d'un lot de leurs albums en 33T pour une meilleur immersion.
Et oui, je sais, vous vous dites « mais qu’est-ce que ça fout là bordel ?! » mais je ne peux renier l’intérêt que j’ai porté (vous remarquerez que je parle au passé) à cet album dégoté dans une petite brocante. Je n’ai pas su faire autrement que de me le procurer, d’abord pour sa jaquette qui à du faire de l’ombre au village people, ensuite pour les 10 titres de l’interprète devenu un vrai rebelle le temps d’un album.
Et la musique dans tout ça ? Difficile à dire, cela pourrait ressembler en une fusion raté entre les Musclés et un mauvais groupe de country, quelques sonorités dont on ignore la provenance peuvent faire penser au générique de goldorak. Coté interprétation on sent que David est un grand acteur, il surjoue vraiment le chant et prend très au sérieux sa carrière de chanteur…malheureusement pour lui il est le seul à y croire, c’est un peu le JCVD de la chanson. Coté instrumental, je pense qu’il est possible pour la formation de vendre leur compos à une compagnie de constructeur d’ascenseurs, seul recourt possible pour le producteur de récupérer un peu de l’argent si bien dépensé.
Néanmoins, cet album sorti en 1985 me fait sourire et c’est déjà ça très bien, un petit coup de blues et hop je sort mon prozakhasselhoff.
La petite buzzy était top sex dans ses clips (j’étais jeune…mais ça n’excuse rien, je sais) et j’ai craqué, j’ai acheté une sorte de best of en double album avec un petit livret décevant car trop peu de photo cocho…heuu correct et une musique typé 80’s plus quelques titres récent sans aucun intérêt. 
Ouais, je sais, c'est ringard, c'est yéyé, ça casse pas des briques même pas du placo et ce sera certainement la meilleur BO jamais utilisé pour accompagné le remake de star trique 70's avec Brigitte Lahaie mais je trouve ça sympa et j'assume.